1 janv. 1979

« Quarante Deux Ans Après »

Quarante deux ans ; un laps de temps impressionnant, témoignant de ce qui nous est arrivé au fil des ans et marquant un jalon là où nous sommes rendus aujourd’hui. C’est aussi un point de ralliement qui nous voit repartir de plus belle vers ces prochaines décennies qui nous attendent avec toutes sortes d'émotions, de découvertes et de surprises.

Ce qui suit est une « mise à jour » pour chaque membre de notre promo, montrant à gauche une photo prise en 1966 et à droite une autre prise en 2008. On y trouvera ensuite le parcours professionnel, les hobbies et, s'il y a lieu, la situation de famille de chacun. L’information en « bleu » a été insérée par le Webmaster lorsque les intéressés n'ont pas pu être contact
és ou ont choisit de ne pas participer...

Alain André
Pas de nouvelles; semble introuvable


Pierre Anthoine
Toujours au boulot et aux commandes de Techdent, Pierrot a un fils né en 1978, une fille née en 1975 et avec elle deux petites filles arrivées en 2005 et 2007 ; Quand il n'est pas au boulot ou au bistro, on peut peut-être le trouver à son chalet de Cordon ou encore en train de bricoler sa 2cv de 1951 !







Guy Bechet
Retraité depuis 2003 (Guy travaillait chez Metrix) et marié à Pierrette, ils ont deux filles nées en 1972 et 1974, et déjà 5 petits-enfants. Pour se distraire, Guy pédale 7000 km par an...




Yves Bekkers
Pas de nouvelles


Jean-François Béné
Toujours au boulot notre ami Jean-François !


Jacques Berhault
Le Béri de 1966 s’est transformé petit à petit en papi, après avoir vécu plusieurs exceptions : Celle d’être le seul à avoir raté le Bac en 1965 et le seul à avoir raté le concours d’entrée en 1968 à l’ENSCM de Besançon, mais réussi l’année suivante. Il est vrai que faire pion pendant ses études sur son lieu de travail est à la fois un avantage et un inconvénient. En 1972, je suis sorti de l’ENSCMB et parti en septembre pour deux ans de coopération au Zaire. Entre temps, en 1973, une autre exception plus logique ; j’étais le seul à épouser Annie, une franc-comtoise du Hauts Doubs qui a partagé ma deuxième année en Afrique et avec qui nous avons eu 3 garçons et maintenant 2 petits enfants avec mon fils ainé David. Après quelques remplacements dans l’enseignement, France Telecom m’a accueilli en 1975 et je lui suis resté fidèle jusqu’en 2006, avec le coup de chapeau de directeur régional. Quant à ma vocation de prédicateur dans un lycée de jeune filles, il y a eu une ébauche car je leur ai enseigné en tant que prof, ce qui m’a peut-être traumatisé car je n'ai eu que des garçons. Aujourd'hui, mes passions restent dans le domaine religieux auquelles vient s’ajouter, grâce à internet, celle de la généalogie ; j’ai ainsi découvert que mon épouse a des cousins aux USA, dans le Missouri. Je réalise aussi quelques sites internet pour des associations ; cliquez-ci pour en savoir plus.

Gérard Bétend
Après avoir travaillé dans la distribution alimentaire sur Genève, il est aujourd'hui retraité à Samoëns depuis deux ans. Il a un fils de 30 ans qui vit à Bonneville et une petite-fille née le 13 février 2008 !

Mychel Blanc

Après Cluses et l'armée à Djibouti, j'ai travaillé 3 ans à la SIP à Genève ( cableur), puis ayant épousé Jacqueline, une fleuriste en 1971, j'ai crée avec elle le magasin de fleurs "LE FLEURISIER " à St Julien en Genevois, que nous avons tenu pendant 30 ans. J'ai ensuite enchaîné divers boulots en tant qu'employé (vendeur en jardinerie, transporteur de fonds, préparateur de commandes, gérant de sex-shop !) pour prendre enfin une retraite presque méritée ! Parallèlement à mes activités, j'ai abordé la carrière d'artiste peintre depuis 30 ans et que je poursuis actuellement avec passion. Je pratique le vélo de façon modérée, cultive mon jardin, et porte toujours de l'intérêt à la lecture et au cinéma. Mon fils Frédéric a 26 ans...

Yves Bocquet
Ayant décidé très tôt mais trop tard que ni la mécanique (trop d’huile), ni lhorlogerie (trop de temps à faire passer le temps) n’étaient ma vocation, j’ai fais livreur de meubles et barman avant l’appel. De retour en Haute Savoie, rejeté par les pompes funèbres, je m’engage par hasard dans une banque et je trouve ma voie. Je passe un CAP puis un BP Banque. En 1971 je joins « First Chicago » à Genève et en 72 j’émigre aux USA. A peine arrivé, j’en reprends pour deux ans, deviens américain et me marie une première fois. Je me retrouve en 1974 à New York, toujours avec « First Chicago » avec en même temps les cours du soir à l’université pour une maitrise en Finances et Statistiques Appliquées, et une autre en Economie. En 1984, avec quelques copains nous créons à Chicago l'entreprise « Internet Systems Corp. » qui aura jusqu’à 400 employés et 200 millions de dollars de C.A. mais se plantera en 2004 et sera vendue pour un seul dollar ! Cette même année je me remarie (le triomphe de l’optimisme sur l’expérience) et épouse Malou, une américaine d’origine belge. Nous avons trois garçons, Grégoire (28 ans), Chris (31 ans) et Gardy (34 ans). Maintenant sous contrat avec un ministère américain, j’essaie de synchroniser mes voyages avec ceux de Malou, un des directeurs de Temenos, en Suisse. Nous habitons à New York et depuis quelques années, rêvons de passer plus de sept jours consécutifs à la maison… bientôt. J’ai fait du parapente, et toujours du ski et du snow-board (mal) et je collectionne les BD’s. Trainant dans les aéroports, j’ai aussi écrit une bio fictive que je suis en train de corriger avant de la placer sur internet. Certains d’entre vous pourraient s’y reconnaitre...
André Bouvard
Faut-il être bourgeois pour habiter Calais ? Pas forcément, en tout cas notre ami André semble s'y plaire. Après avoir fait carrière chez Alcatel (pensez à lui chaque fois que vous entendez de la « friture » sur la ligne,) il a fait du Nord son port d'attache pour la retraite. La famille Bouvard a un fils né en 1987.

Pierre Burnier
Maintenant à la retraite, Pierre est le plus malin ; il partage sa vie entre Marnaz et Bornes-les-Mimosas...

Yves Burtin
Ne lui parlez pas de l'ENH ou tout ce qui peut s'y rattacher : Il n'est absolument pas intéressé


Jean-Paul Chaffard
A la retraite depuis 2007, Jean-Paul a fait fortune dans les piscines et les hot-tubs. Il a un fils né en 1971 et deux filles nées en 1973 et 1997

Gérald Chevrier
Marié depuis 1968 et retraité depuis 2003, nous avons ici un fana du camping car ou « RV. » Vous le trouverez partout sur la route, depuis le Maroc jusqu'au Cercle Polaire. Il a deux enfants; un fils Thierry né en 1969 qui travaille chez BASF et habite temporairement dans le New Jersey, et une fille née en 1972 qui vit à Angoulême ; tous deux lui ont donné 3 petits enfants chacun !


Jean-Paul Claret
Bien qu'ayant travaillé à Genève pendant toute sa vie active, Jean-Paul semble avoir echappé à la retraite à la 65 ans, et y est depuis 2007. Il a deux fils nés 1974 & 1978, et a déjà deux petits enfants...

Michel Cordier
Après mon service militaire à Istres en compagnie de Burnier, j’ai repris l’entreprise de décolletage familiale et... j’y suis toujours ! Ce n’est pas que l’idée de la retraite me déplaise, mais voilà, il faut parfois savoir attendre que tout soit bien en place avant de passer à l’étape suivante. J'ai épousé Bernadette en 1971 et nous avons trois garçons ; Sébastien né en 1976, Bernard en 1978 et Thomas en 1982. Quand j’ai du temps libre j’adore faire des balades, de la natation et bien sur, du ski pendant l'hiver.

Jacky Courtois
Pas de nouvelles


Pierre David
Marié à Gisèle qui est pharmacienne à Chatel, Pierre reste toujours le masseur local de garde. Ils ont deux enfants ; Pierre-Marie, né en 1979 et Anne-Celine née en 1982

Pierre Decoux
Retraité depuis 2007, Pierre a un fils né d'un premier mariage en 1975 et deux filles nées en 1983 et 1985.


Michel Deletraz
Toujours au « turbin » notre ami Michel ; qui pourrait du reste l'imaginer inactif? Avec son épouse Suzel ils ont deux garçons nés en 1966 et 1968...





Jean-Pierre Descombes
Jean-Pierre tu es retraité, n’est-ce pas ? Des détails s'il te plaît...



Claude Ducroz
Pas de nouvelles ; introuvable !

Michel Duret « Dudu »
Longtemps fabricant de skis et de monoskis, Michel s'est désormais fixé sur le snowboard et en fabrique toujours... en Tunisie, où il y partage son temps avec sa résidence de Chatel en compagnie de son épouse Nadine. Tous deux sont tellement mordus de golf qu'ils n'ont quasiment plus le temps de skier, ou plutôt de surfer ! Trois enfants - Sidonie, Maxime et Jérémy nés en 1973, 1974 et 1977 ainsi que déjà quatre petits-enfants complètent la famille Duret...

Michel Duret « Johnny »
Pas de nouvelles fraîches

Christian Echaroux
Après mon passage par Cluses qui a duré une année supplémentaire pour cause de redoublement, je me suis retrouvé en Maths - Physique à la Fac à Grenoble. On est bientôt en Mai 68 et après quelques courses poursuites avec les CRS, je décide d’arrêter de lancer des pavés et consacrer mon temps libre à préparer le concours de l’Ecole d’Ingénieurs de Marseille. Je me retrouve donc à Marseille et j’obtiens mon diplôme d’ingénieur puis une spécialisation en Béton Armé. On est dans quelque chose de plus consistant que la micromécanique !.. Alors que je rêve de faire mon service militaire dans le Génie pour ne pas perdre bêtement un an, je me retrouve dans l’armée de l’air (because cette fameuse « Préparation militaire Air » passée à Cluses)! En 75, j’intègre une boîte de BTP de Marseille et en 78 premier séjour de 15 mois en Tunisie pour participer à la construction du pont de Bizerte. Retour à Marseille pour 2ans. J’abandonne alors cette carrière où l’expatriation est souvent de rigueur pour intégrer la Société des Eaux de Marseille. Entre temps je me suis marié et j’ai eu trois enfants : (Aujourd’hui : 2 filles de 34 et 31ans qui m’ont donné 1 petit fils et 3 petites filles et 1 fils de 26 ans). Divorce en 91 !.. En 95 je suis détaché par ma société pour ouvrir une filiale en Tunisie pour l’exploitation d’une partie des réseaux d’assainissement de Tunis. Ma nouvelle compagne Françoise (qui à une fille de 36 ans et que j’emmène dans mes bagages !..) devient ma secrétaire « particulière » jusqu’à notre retour en France en 2000. Ayant vu que nous pouvions nous supporter 24H/24 pendant 6 ans on décide de se marier en 2001. A mon retour en France, je suis détaché dans une filiale de mon groupe qui gère le réseau d’assainissement de Marseille où je suis toujours, dans l’attente de la retraite qui ne devrait plus tarder. (j’attends Françoise qui part en 2009.) En dehors de cette vie professionnelle très éloignée de mes études à Cluses, je suis membre du Lion’s Club International et cette année Président de mon club. Mes passions sont le jardinage et le gros bricolage (construction de maisons, piscines…) J’aime les randonnées et je pratique le tennis et le golf en amateur. J’ai abandonné le ski il y a 18 ans pour ne pratiquer plus que le snow-board en style pépère ! Avec ces passions et les petits enfants, pas de soucis pour la retraite !...J’habite toujours Marseille mais je viens souvent me ressourcer à Villes dans l’Ain où je possède une résidence secondaire.

Jean-Robert Farjot
Pas de nouvelles


Bernard Feeser
Après une longue carrière dans l'aéronautique (Dassault Aviation), Bernard est sur le point de considérer la retraite (il la prend en 2009) et de ralentir un peu en s'occupant entre autres choses de sa résidence de Moûtiers en Savoie et de skier dans les Trois Vallées en compagnie de sa fille Marion née en 1985...


Fernand Ferroud-Plattet
Après Cluses, j’avoue que je n’avais pas très envie d’entrer tout de suite dans la vie active, aussi j’ai continué par un BTS, puis l’ENSMM à Besançon, et enfin l’IAE à Grenoble. En 72, comme je ne voulais pas de l’armée et elle, pas de moi, je me suis mis au travail, mais pas trop loin des montagnes ! J’ai commencé comme responsable technique dans une filiale de Terraillon qui fabriquait des appareils de gymnastique, puis comme P d G d’une fabrique d’appareils pour le bricolage. C’est en 87 que j’ai vraiment trouvé ma voie lorsque suis rentré dans une société, CERM, qui étudiait et réalisait des machines spéciales pour l’industrie. Depuis 2005 je fais de la R et D chez ROBOTIC une société qui travaille pour l’automobile. Cette activité est intéressante, mais j’avoue qu’elle commence à me peser. Bref encore 3 ans à tenir avant la retraite. Entre temps je me suis marié avec Marie Claire, pharmacien de son état, qui m’a donné 2 enfants : Nicolas (33 ans Ingénieur TP) – Aurélie (28 ans Ostéopathe). Et comme il me reste un peu de temps libre, je fais : beaucoup de randonnées, un peu de VTT et de ski. Au plaisir de vous rencontrer sur Chamonix ou dans les Bauges !

Yvon Fogliani
Marié il y a déjà bien longtemps, notre ami "Fogli" est resté Septimontain et se trouve sur le point de passer son affaire immobilière à son fils, né en 1974 et ses 2 petites filles...


Bernard Gradel
J’ai quitté l’E.N.H en classe de TS1 dans le courant du printemps 1967 de façon peu banale. Melle Guilbot, prof de philo, m’avait viré de ses cours car il m’était impossible de cacher mon aversion pour ses idées politiques d’extrême gauche qu’elle voulait nous imposer. Le directeur, qui ne pouvait accepter cette situation, m’avait demandé d’éviter ce conflit car il ne pouvait pas désavouer un de ses profs. J’ai préféré démissionner plutôt que de me soumettre à sa dictature ! Après résiliation de mon sursis, j’ai été incorporé à la base aérienne de Salon-de-Provence dès début juillet où j’ai retrouvé Jean-François Lanvers. Pendant l’hiver 67-68 j’ai été affecté à Méribel les Allues comme moniteur de ski de l’armée de l’air. Pierre Burnier, qui venait de la base d’Istres y était aussi ! Ce fut un hiver mémorable ! De retour du service militaire, j’ai travaillé avec mon père à la scierie familiale (fondée en 1894 par mon arrière grand-père). En 1979 j’ai repris l’entreprise avec l’aide précieuse de mon épouse Paulette. Nous nous sommes mariés en 1971. Nous avons deux enfants, Sophie née en 1973 et David né en 1975 et un adorable petit-fils de 3 ans Arthur. Je serai à la retraite à la fin de cette année. J’ai fait trois mandats électoraux au sein de ma commune de 1983 à 2001, dont deux de Maire adjoint et au cours cette période j’ai été président du SIF (Syndicat Intercommunal de Flaine) ce qui correspond à la fonction de Maire, car la station est implantée sur 2 communes. Mes passe-temps sportifs préférés sont essentiellement la chasse, le ski et l’aviation (je suis breveté pilote privé d’avion).

Pierre Grillet
Comme Pierre travaille en Suisse, il va lui falloir continuer à bosser jusqu'à 65 ans. Marié depuis assez longtemps, il a deux filles nées en 1977 et en 1982, ainsi qu’un fils né en 1987 et pas encore de petits enfants. Il nous a promis son « parcours » avant la fin de l’année 2008 ...

Philippe Grolleau
J’ai été clusien de la troisième (1962) jusqu’au bac TM (1966), puis pendant les deux années de BTS et de préparation à l’ENSMM de Besançon intégrée à la rentrée 1968. Pendant ces études, j’ai eu plusieurs jobs d’été dont un à la SEAVOM (techniques du vide poussé) et un au CNES. A la sortie de « Chrono » j’ai poursuivi dans le domaine aérospatial pendant un an comme ingénieur stagiaire à l’ONERA (1971/1972) puis pendant trois ans comme ingénieur qualité à la SEP (1972 à 1975). En 1975, j’ai quitté le monde des étoiles et continué ma carrière jusqu’à ce jour dans la construction de biens d’équipement des industries de procédés chimiques, pharmaceutiques et environnementaux (centrifugation, filtration, techniques du vide, granulation et compression des poudres, réacteurs et sécheurs émaillés, équipements en verre). Ce parcours m’a permis d’assumer les postes les plus divers : responsable technique, directeur technique, directeur commercial, directeur général, PDG et actuellement responsable du Service Client. Cette expérience s’est inscrite dans plusieurs entreprises : Sharples & Stokes, Crometal, Guinard Centrifugation, STM, De Dietrich.
Mais, la vie n’est pas toujours un long fleuve tranquille ; j’ai aussi connu les licenciements, le chômage (pendant trois ans), la vie de consultant avec le portage salarial d’une association de cadres chômeurs, l’achat d’une entreprise avec quelques amis et sa revente … A Besançon, j’ai fait la connaissance d’Odile, étudiante en Lettres Modernes. Mariés en juillet 1971, notre famille compte quatre enfants, deux belles-filles (et peut-être une troisième bientôt ?) et trois petits enfants . Nous restons très unis malgré les distances et sommes heureux de voir chacun bien dans sa peau avec un bon métier. Odile et moi avons toujours été très engagés ; dans l’Action Catholique (JEC, aumôneries, Mouvement Chrétien des Cadres et Dirigeants), le scoutisme comme jeunes puis comme adultes et les parents d’élèves. Depuis quelques mois, je suis délégué d’une ONG catholique au sein du Conseil de l’Europe. Côté « hobbies, » l’espace que m'offre ce site
n'est évidemment pas assez grand pour bien parler de ma découverte et de notre amour de la montagne (hiver comme été,) de mon goût pour la photo et de mon envie d’être bientôt un heureux retraité...


Jean-François Jacquier
Marié à Geneviève, notre ami jacquemard profite de la retraite Suisse à 65 ans pour continuer à (trop) travailler...


Michel Lamouille
Marié à Marie-Claire, ils participent tous deux activement à nos réunions de promo...


Jean-François Lanvers
Ma plus grande satisfaction Clusienne a été l’obtention du permis de conduire sur Simca 1000, le 3 Mars 1966 en compagnie de Michel Vittoz. J'ai ensuite « glandouillé » un peu plus d'un an entre l’école et l’armée, et suis alors devenu moniteur de ski à Avoriaz et en Australie. Cinq ans plus tard, lassé de « vendre des virages, » j'allais travailler pour les fixations de ski Look d'abord en qualité de directeur de leur service « course, » ce qui allait éventuellement m'entrainer aux États-Unis où je vis maintenant depuis plus de 31 ans. Toute ma carrière s'est donc faite avec des tas de hauts et de bas dans la branche du ski. Aujourd'hui, je m’efforce de bien gérer mes investissements et suis retraité depuis 3 ans. J'habite à Park City dans l'Utah et souffre d'une grave addiction pour la course à pied, le ski et le VTT. Je fais aussi de la randonnée en montagne, travaille comme un forcené autour de la maison et m'intéresse autant à la politique qu'à l'économie. Je ne suis pas encore retourné à mes premières passions (le dessin et la peinture) mais cela viendra ; finalement, je passe un peu trop de temps sur mon ordi à « blogguer. » Marié à Evelyne en 1975, nous avons deux enfants ; Charlotte née en 1982, Thomas né en 1978 et par ce dernier, un petit-fils Finn arrivé ce 1er Mars 2008 !

Gilles Lignon
Pas de nouvelles fraîches

Jean-Claude Mariettan
Travaille toujours dans la restauration et vit à Nice depuis 1972 (le veinard !) où Elizabeth, son épouse l'a attiré avec succès. Jean-Claude voulait prendre sa retraite à 65 ans par solidarité avec ses camarades travaillant en Suisse, mais ne veut maintenant faire plus qu'une année... Il compte ensuite partager son temps entre Nice et Samoëns. Ils ont deux garçons nés en 1973 et 1977...

Pierre Martinez
Après une carrière à l'Air Liquide, Pierre est maintenant à la retraite. Marié à Geneviève, ils ont un fils Jean-Louis, né en 1973, deux filles, Christine née en 1974, Marie-Noëlle née 1975, et déjà trois petits-enfants. Pierre se passionne désormais pour le tir à l'arc, les jeux sur son ordi, et l’envoi d’émails à ses potes...


Jean Marty
Avec son épouse Françoise, tous deux habitent toujours à Cluses...



Jean Mermier
A fait sa carrière dans les transports et est en retraite depuis 2007. Il a un garçon et une fille, nés en 1972 et 1974 ainsi que trois petits-enfants

Jean-Pierre Mino
Travaille toujours très fort pour le Canton de Genève...

Louis Olearin
Toujours fidèle a sa famille, à ses principes et à Marigner, notre ami "Olé" a une fille...

Patrick Ostorero
Marié avec deux fils nés en 1980 et 1982, Patrick habite dans l'Isère...

Michel Pasquier
Pas de nouvelles fraîches



Bernard Paulme
Toujours au boulot dans le décolletage ; bravo Bernard, mais n’oublies pas de souffler un peu !



Roland Pelizzari
Pas de nouvelles fraîches



Jean-Marie Peyrin
Après une rapide année de fac en 1966 avec Mychel Blanc, j'ai fait mes classes dans l'armée de l'air à Varennes-sur-Allier toujours avec notre artiste avant de faire le reste de mes seize mois à Salon de Provence, cette fois-ci sans lui. Rentré à Grenoble pour travailler dans la bijouterie familiale, je me mariais en 1969 avec Isabelle qui est toujours mon épouse. En 1973, je créais mon affaire de service après-vente en horlogerie dans la région grenobloise, assurant des stations techniques pour une trentaine de marques. J'ai ensuite lancé un entreprise d'horlogerie industrielle au Creusot, puis une affaire de service après-vente pour professionnels à Lyon. Isabelle et moi avons gérés ces trois entreprises où travaillaient 17 personnes. Je me suis aussi fortement investi dans le syndicalisme patronal et la formation des horlogers au niveau national ; je suis administrateur d'une chambre de métiers depuis 37 ans et expert auprès des tribunaux, après avoir obtenu un brevet de maîtrise suivi d’un brevet de maîtrise supérieur. Aujourd’hui, nous sommes toujours en activité, mais uniquement dans la restauration et l'expertise. Parallèlement, j'ai continué une carrière de musicien professionnel, qui ma amené à produire un bon nombre de disques et de concerts avec des artistes très connus, dont dernièrement, André Manoukian. Début Novembre, j'enregistre de nouveau à Paris avec des musiciens de jazz réputés (je ne manquerai pas de mettre quelques morceaux en ligne.) Nous avons deux garçons: l’un d’entre eux est médecin, titulaire d’un doctorat en médecine et en biologie, connu au niveau international et qui part pour une année à la clinique Mayo, aux États-Unis, accompagné de son épouse norvégienne, également médecin, et de leurs trois enfants. Mon autre fils ainé, musicien tout comme moi, est directeur d'un service juridique dans une chambre consulaire et son épouse est notaire.
Alain Picco
Après avoir travaillé en Suisse dans la Vallée de Joux, à la Chaux de Fond et à Genève, Alain a rejoint l’Ile de Beauté pour changer de carrière et se tourner vers l'enseignement . Il a enseigné une classe BTS à Bastia avant de prendre sa retraite le 3 Novembre 2008.

René Ravu
Pas de nouvelles fraîches


Robert Rouge
Après huit ans dans les murs de notre école, (j’ai commencé au collège moderne et j’ai redoublé ma première TM), mon bac 67 me propulse hors de la cellule familiale vers les J.O. de Grenoble et mai 68. Malgré ces perturbations, j'obtiens après un premier cycle en physique chimie, une maîtrise de technologie de construction en 1972. L’année suivante, inscrit en préparation au CAPET, je fais une première expérience de l’enseignement comme maître auxiliaire en physique chimie dans plusieurs lycées grenoblois et rate mon concours en fin d’année. J’esquive l’uniforme militaire (et la maigre solde proposée) en partant deux ans en coopération dans le sud tunisien, au lycée mixte de Gafsa, où j’enseigne la mécanique. Retour à la dure réalité des choses au lycée Charles Poncet en septembre 1975, pour enseigner la construction mécanique, toujours comme auxiliaire ; je retrouve Varcin (dit Pepone) qui m’incite à préparer plus sérieusement mon CAPET, que je réussi en fin d’année. Après une année de formation pédagogique au CPR de Grenoble, je suis nommé dans le jura, au lycée « de la lunette » de Morez où je reste deux ans, puis au lycée Sommeiller à Annecy. Deux ans plus tard je suis en délégation rectorale au lycée du Mont-blanc à Passy pour participer à la mise en place d’une section de BTS bureau d’études. L’ouverture de cette section, qui me permettra de retrouver au gré des stages et travaux de mes étudiants, de nombreux « anciens de l’ENH », scelle mon affectation définitive au lycée du Mont blanc. Elle me permettra également d’obtenir mon agrégation de mécanique par liste d’aptitude (au mérite s’il vous plait, et c’est nettement plus intéressant que les palmes académiques !) En 1984 j’épouse Marie-Christine, une chablaisienne un peu plus jeune que moi (j’ai déjà 36 ans) et sans trop tarder, nous faisons trois enfants : Guillaume 23 ans (chargé d’affaires en thermique du bâtiment), Julien 21 ans (conducteur de travaux en froid industriel), Denis 18 ans (en terminale SI à Charles Poncet). Comme l’heure de la retraite va sonner dans les jours qui viennent, les charges de famille (patrimoine, ascendants et descendants), les activités sportives (VTT, ski, pétanque…), les escapades en caravane et notre engagement dans le judo club local, ne laisseront apparemment, aucune chance à la morosité et à l’ennui.

Christian Ruiz
Toujours en activité en tant que professeur documentaliste en lycée et établissement médico-social. Un de ses hobbies est le tir ; il fait effectivement partie d’un club de tir nommé « Les Pistoliers Genevois » et habite dans l'Ain...


Clément Sauthier
Pas de nouvelles

Claude Servage
Toujours au travail, il dirige Euro-Tech S.A. à Vetraz-Monthoux...

Jean-Louis Toullat
Après avoir vendu de l'armement, Jean-Louis est désormais à la retraite. Avec son épouse Maryse, ils ont une fille née en 1979, un garçon né en 1981 et avec ce dernier, un petit fils Louis né le 23 Octobre 2007. Leur vie se partage entre une grande ferme à Sainte Soline dans les Deux-Sèvres et un appartement montagnard à Morillon-les-Esserts...


Claude Veckman

Après l’ENH et le BT, je rentrais au LTE de Versailles pour préparer un BTS « Bureau d'Études » que je ratais en septembre 68. C’est pendant ces deux ans que je me suis mis à dessiner et à m’intéresser à l’art. En novembre 1968, la « patrie » m'envoyait dans l'armée de l'air en Alsace jusqu’à fin janvier 1970. En septembre de cette même année je partais pour Ingolstadt en Bavière comme dessinateur au bureau d’études carrosserie chez Audi. Grâce aux cours de géométrie descriptive et à mes connaissances en allemand je me suis vite adapté et comme le travail me plaisait et qu’une petite amie m’y avait rejoint, j’y restais. En Octobre 1976, je continuais chez BMW à Munich. Le temps passa car le boulot et Munich étaient tous deux intéressants. Je suis resté célibataire, n'ayant jamais trouvé l'épouse idéale malgré maints essais. En 2001, on me proposa la retraite anticipée à 60 ans ; deux ans et demi de travail à temps complet, et le même temps à la maison avec une petite réduction de salaire : J’ai signé sinon il m’aurai fallu encore tenir jusqu'à 2012 ! Aujourd’hui, après tant d'années passées en Bavière, j'hésite entre retourner en France (Périgord, Bordeaux ?) et rester ici, surtout après avoir subit une très grave chute en montagne le 15 août 2007. Cette possibilité de retour en France est en tout point comparable avec mon départ en Septembre 1970 pour Ingolstadt. Côté hobbies, la photo demeure ma passion depuis mon premier appareil, celui là même que j’utilisais pour les photos du Père-Cent ! J’aime aussi les gravures, la bijouterie argent, verre, bois et papier; la veine artistique m’ayant toujours permis de décompresser...




Robert Verdeau

Le physique était différent, et vous avez du mal à le reconnaître ? Oui, il a perdu ses cheveux et ses illusions ! Heureusement, il reste quelques souvenirs à partager si vous réussissez à le trouver et à le contacter. Retraité de l’aéronautique il habite dans le quartier de la Roquette (XIème arrondissement de Paris.)





Daniel Villaret
Sorti en 68 avec le BTS micromécanique, rentré sous les drapeaux début 69 comme moniteur de voile au club nautique des officiers de Brest (merci à Alain Kaigre) ; sorti début 71 avec le grade de matelot sans spécialité, cette même année, mariage avec Madeleine et rentré dans la vie professionnelle de l’industrie de la petite mécanique et du décolletage pour 6 années (peu d’épanouissement). En 77 retours au soleil du midi en Cévennes pour gérer, une, puis deux boutiques de bijouterie et ce pendant 26 ans (fantastique, beaucoup de travail mais beaucoup de plaisirs). Toutes les bonnes choses ont une fin ! Rentré en retraite en 2003 et début d’une vie de totale liberté et le loisir d’entreprendre ce qu’il me plais, jardinage (par nécessité) ; voyages, navigation sur la méditerranée (Espagne, Barcelone, Minorque, Corse, les îles du Frioul…) par passion ; séjours chez notre fille Virginie et Léa notre petite fille en Haute-Savoie puis chez notre fils Guillaume et Mael notre petit fils au pays basque, par amour. À 5 ans Léa estimais qu’avoir 60 ans c’était vieux ! Avec les désagréments inhérents à cet état (moi pas !) aussi je lui ai donné rendez-vous en 2060 pour avoir son sentiment, elle aura 60 ans ! Et nous, quel age…………? A + en 2060…

Marcel Vittet

Après l’école et 6 mois de petits boulots le service militaire m'a entrainé pendant deux mois à Toulon, puis je me suis retrouvé Saxophoniste à la musique du 33èRIMA à Fort de France. De retour en MAI 68, encore imprégné des Antilles et de la Guyane, j’entre chez RVL à Cluses comme mécanicien-outilleur, puis préparateur de fabrication et enfin cadre, responsable des méthodes. Au début 1973 je prends la direction commerciale de Fondex à Cluses (Découpage et décolletage) et j’évolue rapidement au poste de directeur général. Je claque la porte de Fondex en Aout 1976 et je monte ma propre boîte de décolletage « ADRIS ». L’entreprise dépasse rapidement le cap d’une vingtaine de salariés, mais je suis davantage séduit par d’autres activités que le décolletage, et je me sépare d’ADRIS en 1983. Parallèlement, et après avoir trainé quelque temps mes bottes en Arabie Saoudite et en Afrique équatoriale, j’avais créé en 1978 une autre Sté « DMF SA » dont l’activité première était t le négoce de fermetures de bâtiment (Portes, Fenêtres, Volets etc…) En 1981, je fais construire 1 bâtiment de 3000 m2 à Sallanches où DMF ouvre une grande surface de bricolage à enseigne « EUROBRI ». Cette même année je deviens membre du CJD (Centre des Jeunes Dirigeants) section Mt Blanc. En 1986 je crée avec un partenaire helvétique, « DMF SA » (Suisse); installée dans le canton de Fribourg, cette entreprise contribue à l’essor considérable de DMF France qui devient 47ème exportateur français dans son code APE. En 1989, j’ouvre une nouvelle grande surface de bricolage à Cluses. Les activités sont débordantes et suite à un évènement familial doublé d’une nouvelle opportunité je me sépare fin 1990 de DMF (France) dont l’activité bricolage est vendue à « La boîte à Outils ». Je « descends » dans le Sud et plante mes valises à Nice où je donne naissance à DIAZUR SA pour l’exploitation d’Automates, principalement dans la distribution de boissons et denrées alimentaires. Cette entreprise d’une quinzaine de personnes et forte d’un parc de près de 600 distributeurs de grosse capacité s’est fortement implantée dans les Alpes Maritimes et la Principauté de Monaco. Un accident idiot (mais heureusement sans séquelles graves) m’a incité à prendre récemment une retraite que je n’envisageais pas aussi précipitée : Alors me voilà accroc de voyages lointains et bientôt disponible pour la cueillette des olives ; Mais comme il m’est difficile de couper court à toute activité, j’ai conservé une petite entité pour le fun : VIVENDIS à St Laurent du Var. J’ai eu malgré tout, le temps de faire deux enfants : Caroline en 1978 et Thibault en 1989. Caroline, née de mon 1er mariage avec Arlette, est maman de Pauline (en 2006) et Jérémie (en 2009). Mariée à Samoëns avec Thierry Vagnat , chimiste et Président du Foot de Samoëns, elle travaille à la Mairie de Cluses. Thibault est issu de mon second mariage ave Joëlle; celui-ci poursuit ses études dans la filière HEC: Après 2 années de Prépa à Nice, le voilà maintenant en 2ème année à l’ESC de Toulouse.

Michel Vittoz
Après 1966 j’ai fais des prolongations pendant 2 ans pour obtenir le BTS.Un an à l’école de commerce à Chambéry. Un service militaire des plus agités avec un passage à Orange, puis Tarbes dans les commandos maître–chiens et une mutation en Corse par mesure disciplinaire. L’armée qui a eu des problèmes avec moi.Dès la fin de cette période « je fais mon nid en Bretagne que je n’ai jamais quittée » en épousant en janvier 71 Danielle Kaigre, sœur d’Alain, avec qui j’aurais 3 enfants, Karine, Cécile et Vincent et déjà 3 petits enfants.Ne trouvant pas de boulot dans la mécanique je me lance dans la représentation de machine outils sur le Bretagne (Alcera, Gambin, Colchester, Liné, Cincinnati…) En 1983, je change pour rentrer chez mon meilleur client, je quitte la micromécanique pour la très grosse mécanique. Chef d’atelier en réparation navale pendant 8 ans, directeur commercial pendant 8 ans je termine les 5 dernières années de ma carrière comme directeur des ateliers de Brest. Ma passion pour la montagne est restée intacte, ski, montagne agrémentent mes vacances. Ici je fais du Golf et surtout je me suis beaucoup investi dans le handball, très en vogue en ce moment. Fondateur d’un Club, trésorier du Comité du Finistère, Secrétaire général de la région Bretagne, et quelques coups de mains à la FFHB le domaine associatif m’occupe presque en plein temps. Anecdote : J’ai aussi monté un Comité de jumelage entre Dirinon et Doussard en Haute-Savoie.


Bernard Zanaroli
Après une belle carrière ponctuée par un poste « tout-feu-tout-flamme » chez les briquets « Cricket, » il est toujours marié à Nicole, mais désormais retraité ; la belle vie en somme...



4 commentaires:

blanc a dit…

Il semblerait que notre ami Christian RUIZ, dont nous n'avions pas de nouvelles, et que nous retrouvons avec plaisir, habite à VERSONNEX dans l'ain. Allez Christian, donne nous ton adresse mail, on t'a reconnu!!!
M B

Eric a dit…

Etant dans vos age,je profite de la retraite pour surfer sur internet,et voyant votre site,je me suis souvenu d'un vieux copain qui a fait votre ecole je ne l'ai pas revu depuis plus de 30 ans ...... je profitte de ce trait d'union pour saluer Claude Veckman (que j'ai eu le plaisir de reconnaitre sur les photo). Claudius,c'est Eric ton vieux copain de Levignen ,je te souhaite le bonjour .

Unknown a dit…

Salut Yves....ici Marco ! ca va ??
marco.marchi@sfr.fr
j habite a Annecy depuis 25 ans et aussi en Suede.....
@+

Elisabeth a dit…

Message pour Claude Veckman
Bonjour Claude, c'est un plaisir de te lire sur ce site. Je suis ta cousine Elisabeth Ducrocq et je serais heureuse d'échanger avec toi. J'étais hier à Crépy où j'ai fait un pèlerinage, en particulier sur la tombe de la famille Veckman. Si ça te dit, tu peux m'écrire à elisabeth.bardez0125@orange.fr. Bises à toi.